338- Les Meilleures Plantes Qui Soignent La Drépanocytose

Les Meilleures Plantes Qui Soignent La Drépanocytose au point de redonner espoir pour la guérison de la drépanocytose. C’est un réel espoir

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Drépanocytose : Les Meilleures Plantes Qui Soignent La Drépanocytose 

Qu’est-ce Que La Drépanocytose?

La drépanocytose(anémie falciforme) est une maladie génétique héréditaire résultant d’une mutation de l’hémoglobine. La maladie peut être transmise par les deux parents. Mais elle n’est pas contagieuse. Le nom “drépanocytose” vient du grec drepanon qui veut dire faucille, parce que les globules rouges malades prennent une forme de faucille. Un globule rouge sain est circulaire, alors qu’un globule rouge d’un drépanocytaire est déformé.
La drépanocytose est une maladie génétique de l’hémoglobine, une substance contenue dans les globules rouges, qui sert à transporter l’oxygène à travers le corps. Généralement, elle se manifeste par une anémie par une fatigabilité, des vertiges, des essoufflements…), une sensibilité aux infections, et des crises douloureuses. Toutefois, les manifestations sont très variable selon les personnes et au cours du temps pour une même personne.
Plantes médicinales utilisées dans le traitement de la drépanocytose en Afrique de L’Ouest

1-PLANTES NATURELLE D’AFRIQUE CONTRE LA DREPANOCYTOSE 

 

La drépanocytose est une maladie héréditaire du sang. Elle peut entraîner une série de complications graves comme une anémie, une insuffisance respiratoire, mais aussi des crises très douloureuses qui surviennent dans différentes parties du corps. C’est donc pourquoi il est important de la traiter le plus tôt possibles cherchez un mo. Vouyen naturel pour guérir de la drépanocytose ? Alors ce traitement naturel est fait pour vous. Notre traitement naturel surpasse de loin les traitements conventionnels qui soulagent les symptômes de la drépanocytose, mais ne la soigne pas. Faites-nous confiance ! C’est le secret pour guérir de la drépanocytose par les plantes.

Le traitement que nous vous proposons pour guérir de la drépanocytose est essentiellement constitué de tisanes naturelles. C’est donc un remède naturel efficace, rapide et durable qui vous permettra de retrouver une circulation sanguine normale. La tisane est un remède naturel fait à base de plantes. les principes actifs sont empêchent l’apparition des crises douloureuses chez l’enfant comme chez l’adulte. Ainsi, elle agit en réduisant le nombre de globules rouges déformées par la drépanocytose et en favorisant la production de nouveaux globules rouges normaux.
L’utilisation de plantes naturelles pour guérir de la drépanocytose donne généralement d’excellents résultats car cela permet d’empêcher l’apparition de crises douloureuses. C’est le secret pour guérir de la drépanocytose. A l’inverse des médicaments, nos tisanes pour guérir de la drépanocytose n’entrainent aucun effet secondaire, sur l’organisme ou sur la santé. Il n’est pas ainsi dangereux contrairement aux médicaments et transfusions qui entraînent une surcharge en fer dans les organes. Vous pourrez donc lutter contre votre drépanocytose sans craindre l’apparition d’effets secondaires.

Qu’est-ce que la drépanocytose ?

PLANTES CONTRE LA DREPANOCYTOSE 

Cajan cajan, Carica papaya, Piper guineense , Pterocarpus osun, Sorgho bicolore, Syzygium

aromatique , Zanthoxylum zanthoxyloides, Ju sticia secunda, Moringa oleifera et Vinga unguiculata

PLANTES UTILISEES POUR TRAITER LA DREPANOCYTOSE

 

Cajanus cajan

Répartition géographique:

Le Cajanus cajan, Pois d’angole en Français, est un arbuste de 3 mètres de hauteur, poussant dans les régions tropicales ou subtropicales dans le monde

Etude botanique

C’est une plante de la famille des Fabaceae. Ses feuilles ont des poils blanchâtres. Ses fruits sont des gousses contenant des graines comestibles

Etude chimique

Les feuilles et les graines n’ont pas la même composition chimique, avec en conséquence, différentes indications. La feuille contient des tanins et des stérols. La graine, des glucides (le principal constituant), des protides riches en acides aminés comme la phénylalanine, des lipides, des acides phénoliques et quelques vitamines.

Etude pharmacologique

Les feuilles n’ont aucune activité dans la drépanocytose, elles sont antibactériennes. Ce sont les graines qui possèdent l’activité anti drépanocytaire, réduisant le taux de globules rouges falciformes

Etude toxicologique

Les graines de Cajanus cajan ne présentent pas de toxicité aiguë

Résultats

la cajaminose pouvait allonger le temps de falciformation des globules rouges. En effet,  les échantillons sanguins ont été mis en présence avec du métabisulfite de sodium,du métabisulfite de sodium associé à l’extrait de Cajanus cajan et du métabisulfite de sodium associé à la cajaminose.

 Fagara zanthoxyloïdes

Répartition géographique

Fagara zanthozyloïdes est communément appelé le Fagarier. La Fagarier est un arbre qui se trouve au Sénégal ainsi qu’au Cameroun

Etude botanique

Le Fagarier appartient à la famille des Rutaceae. Il s’agit d’un arbre de 7 à 10m de hauteur. Les parties utilisées, pour leurs propriétés thérapeutiques, sont les racines, les feuilles et les écorces de racines et de tiges . Chaque partie de cet arbre dégage une odeur citronnée

Etude Chimique

Les métabolites secondaires retrouvés dans cette plante, et pouvant avoir une activité thérapeutique sont assez nombreux : • Acide vanillique • Acide divanilloylquinique • Acide parahydroxybenzoïque • Acide parafluorobenzoïque • Acide hydroxy-2-méthylbenzoïque (écorce des tiges)

Etudes pharmacologiques

Fagara zanthoxyloïdes est l’espèce la plus citée dans la prévention et le traitement des crises drépanocytaires. Ses écorces de racines, ayant une activité anti-falcémiante, sont utilisées dans la médecine traditionnelle des pays de l’Afrique de l’Ouest, plus particulièrement au Burkina Faso.

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Calotropis procera 

Répartition géographique

Calotropis procera, appelé aussi « Pommier de Sodome », pousse dans les zones désertiques voire semi-désertiques des régions côtières de la mer Rouge et de l’Océan Indien, sur des sols que l’on peut considérer comme dégradés, toujours à proximité de ruisseaux secs.

Etude botanique

Calotropis procera est un arbuste de la famille des Apocynaceae qui a une hauteur de 3 à 5 mètres. La dose létale 50 (DL50) est une échelle de mesure pour évaluer la toxicité d’une substance. Dose nécessaire pour tuer 50% d’un groupe d’animaux testés. Il est extrêmement résistant à la sécheresse. Il contient un latex toxique renfermant une substance, la calotropine (hétéroside cardiotonique) ayant des propriétés anti-syphilitiques et désinfectantes.

Etude chimique

Une étude sur la phytochimie du Calatropis procera a pu mettre en évidence les différents composés suivants selon les parties de la plante :

Feuilles:  Cardénolides-Polysaccharides •

Tiges: Cardénolides Glycosides cardiotoniques

Fruits: Cardénolides • Racines Glycosides Triterpènes Digitanols

Fleurs: Flavonoïdes Anthocyanines Stérols

Stérols o Acide triterpéniques o Hétérosides cardiotoniques o Alcaloïdes o Protéasess o Enzymes protéolytiques

Pour l’écorce de racines, on retrouve la présence d’alcaloïdes, de saponines, de triterpènes et de stérols (sous forme hétérosidique), ainsi que des minéraux comme le magnésium (minéral en plus grosse quantité), le calcium et le fer. Minéraux présents dans Calotropis procera .

Etude pharmacologique

Plusieurs études ont démontré l’efficacité de l’activité anti-falcémiante du Calotropis procera dans la drépanocytose, avec une inhibition de la falciformation dose-dépendante

Etude toxicologique

Calotropis procera est utilisé dans la spécialité sous forme de poudre d’écorces de racines. Selon les études toxicologiques, la poudre de racines serait considérée comme faiblement toxique, comparée au latex, très toxique voire mortel. En effet, par voie orale, aux doses de 100, 500 mg, 1 et 2 g par kilogramme de poids corporel, aucune toxicité n’est observée. Concernant la voie péritonéale, la drogue peut être faiblement toxique, la dose létale étant de 973mg par kilogramme de poids corporel.

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MORINGA OLEIFERA 

 

Description de la plante

Petit arbre pouvant mesurer jusqu’à 10 à 12 m. Arbre à croissance très rapide (2,5 m au bout de trois mois) qui demande très peu d’eau. Il pousse mieux entre des températures de  26 à 40° avec des précipitations de plus de 500 mm et à une altitude inférieure à 1 000 m

COMPOSITION ET PROPRIÉTÉ

Le Moringa Oleifera contient des vitamines A, B et C et des minéraux comme le calcium et le fer dans des proportions qui dépassent de loin les produits alimentaires courants.
Les feuilles fraîches de moringa contiennent par gramme 3 fois plus de fer que les épinards et autant de protéine que les œufs. Il contient 7 fois plus de vitamine A que les carottes, 3 fois plus de potassium que les bananes et 4 fois plus de calcium que le lait.
Le moringa a été bien etudier et est bien placer pour soigner les problèmes de la drepanocytose quelque soit la gravité du mal.
Hypoxis angustifolia

C’est un arbuste de 15 à 16 m de haut, couvert de poiles blancs corne subcylindrique de 5-4 cm de long et 1-3 cm de diamètre. Fleurs nombreuses, inflorescences linéaires de 12-55 cm de long et 1-5 cm de large. 2 à 4 cm de fleurs solitaires de 8 à 40 cm de long ; bractées de 4 à 16 mm de long. Graines globuleuses de 1mm de diamètre. Feuilles relictes, linéaires à bractée de 4 cm/2 cm, fleurs blanchâtres. Bulbe de 4 cm rouge, hampes de 10 cm.

 

Ipomoea batatas

C’est une plante vivace à tiges rampantes pouvant atteindre 2,5 à 3 m de long. Les feuilles alternes sont entières, au pétiole relativement long et au limbe de forme variable à bord sinué ou denté ou bien lobé, formant 5 à 7 lobes aigus, à nervation palmée.

Les fleurs à corolle soudée, de couleur violette ou blanche, sont très semblables à celles du liseron qui appartient au même genre. Elles apparaissent à l’aisselle des feuilles, isolées ou groupées en cymes de quelques fleurs. La fructification de cette plante est très rarement observée en culture.

Elle produit des tubercules de forme plus ou moins allongée, voir arrondie, à la peau fine. Suivant la variété, la couleur de la peau du tubercule va du blanc au jaune, à l’orange ou au violet. Le tubercule est très riche en amidon ; sa saveur sucrée et sa texture farineuse rappellent un peu celles de la châtaigne.

 

La patate douce est cultivable même sur les sols pauvres, mais elle préfère un sol profond, frais et riche en humus. Ce genre comprend des milliers de variétés. Elle est cultivée pour son tubercule qui contient de la fécule et des glucides donnant une saveur sucrée, riche en vitamine A, E et C. Selon la variété, la chaire peut être blanche, jaune ou orange. Elle est la base de l’alimentation dans certains pays, les feuilles riches en protéines sont également consommés comme épinards, ou utilisées comme fourrage.

 

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Vinga unguiculata

La composition et les propriétés fonctionnelles proches de la farine de niébé crue, germée, fermentée et traitée thermiquement ont été étudiées. Les propriétés fonctionnelles étudiées étaient la solubilité des protéines, l’absorption d’eau et de graisses, la densité apparente, la capacité de la mousse et sa stabilité.

La germination augmente les protéines brutes, le fer et le phosphore total, mais diminue la teneur en glucides, en lipides et enP<0,05) que ceux des échantillons bruts, germés ou fermentés. Les masses volumiques des farines germées et fermentées ont été réduites de 70,6% et 35,3% respectivement. La mousse de la farine brute était plus stable que celle des échantillons traités. Incorporation de NaCl jusqu’à 0,2 ·m amélioration de la capacité de mousse des farines brutes et transformées. polyphénols totaux. La solubilité des protéines était dépendante du pH avec un minimum à pH 4,0. La solubilité maximale des protéines (0,39 mg / ml) a été enregistrée pour la farine germée qui présentait également d’excellentes propriétés d’absorption des graisses. La capacité d’absorption d’eau de la farine de niébé traitée thermiquement était nettement supérieure (

 

Syzygium aromatique

Originaire des îles Moluques, dans l’océan Indien, le giroflier, Syzygium aromaticum, est un arbre de 20 mètres de haut, d’une forme conique ou pyramidale. Il se développe sur des zones tropicales et maritimes aux sols bien drainés. Le giroflier appartient à la famille des Myrtacées, il est également appelé girofle.

Les clous de girofle sont en réalité les boutons de ses fleurs avant leur éclosion. Ses feuilles de couleur vert foncé sont effilées, coriaces et persistantes. Ses fleurs sont blanches, légèrement rosées. Elles sont groupées en petites cymes compactes et ramifiées. Le calice, rouge et long, contient un bouton de fleur, qui s’ouvre en révélant quatre pétales.

Si elle est fécondée, la fleur du giroflier donne un fruit appelé mère de girofle ou antofle. La partie la plus aromatique, et donc la plus prisée, n’est pas le fruit mais le bouton non éclos aux pétales encore soudés les uns aux autres.

 

Pterocarpus osun

Le bois de cœur est rouge terne et relativement dur. Il se cloue bien et il est sensible aux attaques de termites. Il contient des pigments rouges des groupes de la santarubine et de la santaline. Les santalines peuvent servir de colorant histologique. Les graines contiennent 28% de protéines brutes, mais lors d’essais sur des rats, leur valeur nutritive s’est montrée inférieure à celle de la caséine. Avant qu’elles puissent être utilisées comme composant dans l’alimentation humaine ou complément dans l’alimentation animale, des études d’innocuité et des méthodes de traitement appropriées pour les débarrasser des facteurs antinutritionnels et des éventuels composants toxiques sont nécessaires. On a établi que l’huile des graines, sur la base de sa teneur en β-carotène, constitue une source utile de vitamine A. Ses principaux acides gras sont l’acide linoléique, l’acide oléique, l’acide palmitique et l’acide béhénique. Les propriétés antimicrobiennes de la tige ont été démontrées in vitro

 

Sorgho bicolore

Origine et répartition géographique

C’est au nord-est de l’Afrique tropicale qu’on trouve la plus grande diversité de Sorghum, aussi bien chez les types cultivés que sauvages. Il se peut que la plante ait été domestiquée dans cette région, peut-être en Ethiopie. Différentes hypothèses ont été avancées quant à l’époque de la domestication, depuis 5000–3000 avant J.-C. jusqu’à 1000 avant J.-C., mais c’est surtout la dernière période qui fait aujourd’hui consensus. A partir du nord-est de l’Afrique, le sorgho s’est diffusé dans toute l’Afrique et le long des voies maritimes et commerciales, du Proche-Orient à l’Inde. On suppose qu’il a été introduit d’Inde en Chine par la route de la soie et en Asie du Sud-Est par les voies maritimes côtières. L’introduction du sorgho dans les Amériques s’est faite depuis l’Afrique de l’Ouest avec le commerce des esclaves. Son introduction aux Etats-Unis pour une exploitation commerciale est partie d’Afrique du Nord, d’Afrique du Sud et d’Inde à la fin du XIXe siècle. Par la suite, il a été introduit en Amérique du Sud et en Australie. Il est désormais cultivé partout dans les zones arides d’Afrique, d’Asie, des Amériques, d’Europe et d’Australie, à des latitudes comprises entre 50°N en Amérique du Nord et en Russie, et 40°S en Argentine. Les types de sorgho exclusivement cultivés pour le colorant contenu dans la gaine foliaire sont présents depuis le Sénégal jusqu’au Soudan.

1010 MEILLEURS PLANTE CONTRE LA DRÉPANOCYTOSE

PROPRIETES

La composition du grain de sorgho, par 100 g de partie comestible, est : eau 9,2 g, énergie 1418 kJ (339 kcal), protéines 11,3 g, lipides 3,3 g, glucides 74,6 g, Ca 28 mg, P 287 mg, Fe 4,4 mg, vitamine A 0 UI, thiamine 0,24 mg, riboflavine 0,14 mg, niacine 2,9 mg et acide ascorbique 0 mg. La composition en acides aminés essentiels, par 100 g de partie comestible, est : tryptophane 124 mg, lysine 229 mg, méthionine 169 mg, phénylalanine 546 mg, thréonine 346 mg, valine 561 mg, leucine 1491 mg et isoleucine 433 mg. Les principaux acides gras, par 100 g de partie comestible, sont : acide linoléique 1305 mg, acide oléique 964 mg et acide palmitique 407 mg (USDA, 2004). Le grain de sorgho est tout d’abord limitant en lysine, et ensuite en méthionine et en thréonine. Pour l’essentiel, la protéine du sorgho est constituée de prolamine (39–73%), qui est peu digeste. Par conséquent, la protéine disponible dans le grain de sorgho ne dépasse d’ordinaire pas 8–9%. La teneur en tanin du sorgho affecte également sa valeur nutritionnelle. On distingue chez le sorgho des types à teneur en tanin élevée et des types à teneur faible. Les types à teneur élevée en tanin (qu’on appelle parfois les “sorghos bruns”, même si le grain est parfois blanc, jaune ou rouge) offrent une moindre valeur nutritionnelle tout en présentant des avantages sur le plan agronomique, comme la résistance aux oiseaux, aux insectes, aux champignons et une moindre tendance à germer sur la panicule. Les types de sorgho dont le grain est dépourvu de paroi pigmentée (les “sorghos blancs”) ne contiennent pas de tanins concentrés et ont une valeur nutritionnelle équivalente à celle du maïs. Le décorticage, le blanchiment, le maltage ou l’immersion des grains de sorgho dans des solutions alcalines réduisent leur teneur en tanin de manière significative. En général, l’albumen représente 82–84% du poids du grain, le germe 9–10% et la paroi du grain 6–8%. Les granules d’amidon de l’albumen ont un diamètre de (4–)15(–25) μm. L’amidon contient habituellement 70–80% d’amylopectine et 20–30% d’amylose, mais il existe des types qui contiennent 100% d’amylopectine et d’autres près de 62% d’amylose. La température de gélatinisation est de 68–75°C. Le grain de sorgho ne contient pas de gluten et, à moins de le mélanger à du blé, il ne peut servir à produire des aliments levés.

La composition de la plante verte est variable en fonction de l’âge et du cultivar, mais elle comporte en général 78–86 g d’eau par 100 g de produit frais. Sur la base du poids sec, elle contient, par 100 g : protéines 12 g, glucides 40–50 g et fibres 20–30 g. La dhurrine, un hétéroside, est présente dans les parties aériennes de la plupart des sorghos. La dhurrine est hydrolysée en acide cyanhydrique (HCN), toxique puissant qui peut tuer les bêtes qui le broutent. Il est surtout concentré dans les jeunes feuilles et les talles ainsi que chez les plantes qui souffrent de la sécheresse. La teneur en HCN, qui décroît habituellement avec l’âge, atteint des niveaux non toxiques 45–50 jours après la plantation, et l’acide est détruit lorsque on transforme le fourrage en foin ou en ensilage.

Le pigment rouge des cultivars tinctoriaux est composé de substances anthocyaniques, particulièrement riches (95%) en un chlorure stable, l’apigéninidine (3-désoxyanthocyanidine), et en tanins du groupe condensé des proanthocyanidines (qui produisent des phlobaphènes rouges). Le pigment rouge de la gaine foliaire du sorgho fait plus de 20% du poids sec. Le rôle du champignon non pathogène Bipolaris maydis dans la production d’apigéninidine de ces cultivars mérite un approfondissement des recherches. Utilisé sans mordant, le colorant tiré du sorgho donne un rouge sombre qui est assez solide et qui est encore très utilisé en Afrique de l’Est, en particulier au Soudan et en Ethiopie, pour teindre le cuir, le coton, et les herbes et roseaux qui servent aux nattes tissées. Les noirs sont obtenus avec de la soude carbonatée et des mordants ferriques. Dans les grains de sorgho rouge on a isolé les pigments suivants : apigénine, querciméritrine, glucosides de kaempférol, glucosides d’apigénidine, apigéninidine, lutéolinidine et 7-O- méthyl-lutéoline-glucoside. Les composants du colorant rouge isolé de la tige des cultivars de sorgho rouge sont une anthocyanidine : l’apigéninidine (17%) et des flavonoïdes : la lutéoline (9%) et l’apigénine (4%). La propriété attribuée au pigment rouge de guérir l’anémie a été confirmée dans des essais sur les rats

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